Récit de cul avec la réceptionniste

J’aimerais vous dire que j’ai honte de tromper ma femme. À 36 ans, après quasiment dix ans de mariage, je pensais que c’était bon, que ça m’était sorti de la tête toutes ces lubies de baise avec des inconnues. Seulement, ce genre de problème, c’est pas dans la tête que ça se trouve. Je pense qu’on s’est bien compris. Bref, découvrez la suite dans mon récit de cul.

Rencontre dans l’ascenseur

Je vais pas me morfondre parce que franchement, j’ai pris mon pied. C’était un petit coup innocent, sans incidence autre que celui de ma satisfaction personnelle. Et puis en même temps, on peut dire que c’est un « accident du travail ».

Techniquement, c’était accidentel. Tout a commencé avec la réceptionniste. Une fille sympa, pas très maline, 23 ans un peu gauche mais avec une bouche qui donne des idées et laissent préfigurer du reste. Un jour, voilà que l’ascenseur est bondé. Malencontreusement, en essayant de m’y faire une place, je me retrouve collée contre elle. La nature étant ce qu’elle est, mon braquemart commence à se raidir à force d’être collé contre ses petites fesses.

Depuis, elle arrêtait de me vanner là-dessus en privé. Jusqu’à ce que les blagues innocentes commencent un peu à ressembler à du flirt et que le flirt devienne franchement racoleur. Elle voulait à nouveau sentir mon membre bien épais et gorgé de désir contre elle. En elle-même. Si bien qu’un beau jour, le temps de la pause déjeuner, je l’entraîne avec moi en prétextant un argument bidon pour le travail et l’entrevue nous mène dans un placard à balais.

guillemets

– J’ai bien cru que tu céderais jamais. M’a-t-elle dit en rigolant innocemment tandis qu’elle ôtait déjà sa veste.

Elle m’a eu à l’usure. Je triquais comme un taureau et elle était là, avec des lèvres bien pulpeuses. Assez pour me donner des idées. J’ai même pas attendu qu’elle se déshabille entièrement pour poser une main sur son crâne et la faire s’agenouiller. Elle s’est pliée docilement et, d’une de ses petites mains, a commencé à se saisir de mon gourdin en serrant.

– Tu te seras fait attendre toi !

Récit de cul au bureau : Fellation inoubliable

Elle est un peu gamine dans son genre, mais ça fait son charme. Ses lèvres ondulant autour de ma queue elles aussi. Franchement, elle savait y faire la garce. Elle était là, à me sucer comme si de rien n’était en enlevant sa chemise et son soutif. La petite y allait franchement, bruyamment et goulûment ; elle savourait ce que je lui servais comme ma femme n’avait jamais su le faire.

Quand elle s’est rassasiée comme il faut, elle s’est redressée et m’a tourné le dos avant de se pencher un peu en avant.

– Cette fois si tu la frottes, t’as plus l’excuse de l’ascenseur bondé.

J’ai baisé la réceptionniste dans le placard à balais

Et elle rigole encore de manière discrète en me disant ça. Tout ça, c’est un jeu pour elle. Alors je lui colle mon dard entre ses petites fesses serrées, je le frictionne pour bien m’imprégner de sa chaleur et, quand je vois que sa sève dégouline le long de sa cuisse, je lui écarte ses petites lèvres. Aussi serrées et gourmandes que les précédentes.

Pendant que je la lime, elle gémit doucement en m’encourageant. Elle m’appelle « monsieur », ce qu’elle fait jamais et franchement, j’adore ça. Pour un peu, j’aurais pu finir dans son petit ventre chaud qui n’appelait qu’à déguster ma semence, mais je me suis ressaisi in extremis et lui ai sorti la vigueur de justesse pour lui cracher mon jus dans le dos. Tout ce qu’elle a trouvé à dire c’est :

– Ça fait du bien par où ça passe.

J’ai pas pu lui donner tort. Quand je pense que je la recroise encore demain au boulot. Est-ce que je vais réussir à me retenir maintenant que j’ai cédé ?…

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