Comment j’ai fini avec ma voisine nue…

Des fois, je vous le dis, on peut retirer le meilleur de la pire des situations. Je vous situe un peu le contexte pour que vous voyez bien de quoi je veux parler. Je suis étudiant et j’ai 21 ans. La cité U, ça me disait pas grand-chose, alors j’ai opté pour la collocation. Ça, ce n’est que le début de mon histoire de voisine nue

La rencontre avec la voisine…

Je sais ce que vous vous dites « Ah, ça doit baiser à tout va là-dedans ». Oubliez. Y’a que des mecs. Et puis, pas de types avec lesquels je m’entends nécessairement bien.

Bref, je suis sur le palier devant la porte de l’appartement et je me rends compte que j’ai laissé mes clés à un de mes colocataires pour qu’il puisse refaire les siennes après les avoir paumées. Je l’appelle et il me dit qu’il a cours, qu’il sera là dans 3 heures.

Le bonheur…

Du coup, j’enrage un peu, je cogne à la porte. Et voilà que derrière moi, la porte du voisin commence à s’ouvrir. Enfin, je dis le voisin, en fait, c’était une voisine. On l’avait jamais trop vue.

Ma fois, quelques rides aux coins des yeux et des lèvres mais en dehors de ça, une vraie jeune fille habillée avec un chemisier assez moulant et un slim qui l’était pas moins. Elle me demande ce qu’il m’arrive, je lui explique… et voilà qu’elle m’invite chez elle en attendant. Vous vous doutez comment ça va finir ? En baise entre voisins !

Elle est sympa que je me suis dit. Mais j’avais sous-estimé à quel point elle était sympathique.

Forcément, on cause. Et y’avait quelques remarques comme ça qui laissaient entendre que son hospitalité était un peu intéressée :

guillemets

– Tu fais du sport ? Ah non ? Pourtant, t’as l’air plutôt bien bâti.

– Pas qu’au niveau musculaire.

– Je demande qu’à voir…

La voisine nue m’a chauffé

Le regard lubrique qu’elle m’a lancé à ce moment-là, j’ai bien cru que j’allais faire sauter ma braguette. Mais c’est pas la braguette qui a sauté.

Son chemisier, je l’ai déboutonné comme si ma vie en dépendait. Je suis pas du genre à refuser l’hospitalité quand elle est aussi généreuse. On était assis sur le canapé, ça a fini allongé.

Elle m’avait invité chez elle d’abord et en elle ensuite. Quand j’en ai eu fini de la déshabiller, presque violemment, je l’ai vue étendue, les jambes bien ouvertes, dévoilant un trésor au fumet qui m’intimait la baise.

Une cougar qui ne demandait qu’à se faire baiser

J’ai pas honte de le dire, je lui suis rentré dedans comme un soudard en manque. L’occasion de tirer ma crampe était trop rare et quand une cougar s’offre à vous, vous prenez ; vous la prenez. Elle hurlait de plaisir sans même une once de pudeur la garce, tout le bâtiment à dû nous entendre. Mais je pensais pas à ça, je pensais seulement à quel point c’était bon de se sentir serré dans ses muqueuses et de la rabrouer.

Elle avait les cuisses grandes ouvertes et les a progressivement resserrées autour de ma taille alors que j’accélérais mes coups de reins. Les chairs qui claquaient se faisaient plus suaves à mesure que la baise se poursuivait et je me rendais finalement compte qu’elle me dominait plus que je m’imposais.

Un final en beauté

La garce avait sûrement prévu son coup, mouillée comme elle était au moment où je m’y suis inséré. Sans aucune solution de repli alors qu’elle m’avait coupé la retraite, j’étais piégé en elle et mon corps agissait tout seul ; je pouvais pas m’empêcher de la culbuter, c’était juste trop bon. Quand elle a vu que j’étais crispé, que je me retenais elle m’a appuyé contre elle et m’a susurré « Lâche tout, ça risque rien… vas-y vil salaud qu’on jouisse ensemble »

Je me suis pas fait prier. Dans la seconde après, je me suis vidé par saillies pendant qu’elle gueulait à me rendre sourd. J’avais le souffle coupé. Et quand elle a retrouvé ses esprits, elle n’a rien trouvé de mieux à dire :

– Je te crois, t’es bien bâti.

Qu’est-ce qu’il faut pas faire pour entretenir des rapports de bon voisinage je vous jure.

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