Histoire BDSM avec une cravache…

Je salue tous ceux qui liront ce récit et je pense qu’ils seront aussi surpris que je l’ai été. Agréablement surpris j’entends, ça finit en histoire BDSM… En fait, je m’appelle Cédric, j’ai 23 ans et je suis en master de finance. Je zone dans un groupe d’étudiants et on se fréquente surtout pour le travail. Y’a deux filles avec nous, dont une qui me plaît bien. Elle a mon âge, les cheveux courts et châtains et des taches de rousseur. 

La découverte de la cravache

J’ai jamais trop osé l’approcher. Elle est un peu austère comme fille et renfermée. Du coup, ça m’indispose comme qui dirait.

Mais un jour je vais chez elle pour aller chercher une partie d’un devoir en commun. Elle finissait sa vaisselle donc elle me convie à entrer même si je sens que ça la fait chier.

Et moi bah… je suis un peu fureteur. Du coup, je jette des coups d’œil un peu partout et en allant dans sa chambre pendant qu’elle finit sa vaisselle, je trouve une cravache. J’essaye d’engager la conversation pour draguer. Qui tente rien…

guillemets

– Je savais pas que tu faisais l’équitation. Ma sœur en a fait pendant 11 ans et…

– Je fais pas d’équitation.

Je pensais pas que ça allait partir en trip BDSM

Et là je reste interdit, la cravache dans les mains, à me demander dans quel contexte une fille peut se retrouver avec ce genre d’ustensile en dehors du cadre de l’équitation. Pour déconner, j’approche par derrière en lui mettant un petit coup sur le charnu. Et là, au lieu de la voir sursauter, je l’entends pousser un soupir d’aise.

– Tu pratiques ?

Elle me pose une question à laquelle je connais pas la réponse, alors moi… bête comme je suis, je réponds «oui». Elle se mord la lèvre et me demande si j’ai un peu de temps devant moi.

Si je m’attendais à ça. À peine sa vaisselle terminée elle va dans sa chambre. Je l’entends qui se change, je m’imaginais qu’on allait sortir et elle sort avec le corset en cuir. Le truc dingue !

Là elle me fait un signe de tête. Tu parles que j’accours dans la seconde, toujours la cravache en main.

guillemets

– Je t’avais pas pris pour un dominateur qu’elle me dit alors qu’elle commence à se mettre à genoux les mains sur les cuisses.

– Et moi je me suis toujours douté que t’étais une petite garce qui aimait se faire remettre en place.

Je lui enfonce ma bite

Je sais pas ce qu’il m’a pris, je l’ai chopée à la gorge et je lui ai dit de défaire mon pantalon. Quand j’ai compris à quoi j’avais affaire, j’ai décidé de jouer le rôle. Je l’ai attrapée par les cheveux et je lui ai forcé la tête contre mon nœud. Elle a à peine eu le temps de dire « Oh merci maître » que je lui enfournais mon chibre jusqu’au fond de la gorge et de manière répétée jusqu’à ce qu’elle en ait les larmes aux yeux.

Dire qu’elle était si sage et sérieuse et qu’elle se retrouve dans cette position. Et pas que dans cette dernière. L’odeur de mouille commençait me monter au nez, je sentais bien qu’elle voulait de la bite. Alors je l’ai tirée par les cheveux et je l’ai forcée à s’aplatir au sol.

J’ai juste eu à la surplomber et à m’allonger sur elle pour imposer mon poids, mon joug et mon membre dans sa petite chatte serrée et ruisselante. Y’a eu aucun préliminaire, aucune douceur, et c’est ce qu’elle recherchait. Alors j’y suis allé de bon cœur encore et encore pendant qu’elle me suppliait d’y aller moins fort alors qu’elle s’agitait pour mieux accepter ma bite jusqu’au plus profond d’elle.

C’était tellement excitant que j’ai pas réagi au moment d’envoyer la sauce. Elle est restée affalée, contente d’avoir subi alors que je ressortais ma queue dégoulinante de mon foutre et du sien.

On croit connaître quelqu’un jusqu’à ce qu’on découvre qu’elle est versée dans la baise hard et le BDSM. La prochaine fois que j’irai chercher un devoir, j’oublierai pas de jouer de la cravache.

Laisser un commentaire