Baise rapide au travail

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Il est marié. Je suis mariée. Je sais que ce n’est pas bien. Mais je n’y peux rien : j’adore baiser avec lui. On est surtout adepte de baise rapide et furtive. Je m’appelle Marie, j’ai 35 ans. Il s’appelle Loïc, il en a 37. On couche ensemble depuis deux ans maintenant. C’est une relation totalement secrète et adultère. On ne se voit même pas en dehors du travail. La plupart du temps ça nous prend comme ça, sur un regard, une remarque coquine, une conversation qui dégénère.

Cet après-midi, il est particulièrement entreprenant. La chaleur estivale, sans doute. Et la profondeur de mon décolleté, plus sûrement. Nous nous sommes fait des allusions toutes la journée, et tout a commencé à dégénérer vers 18h, lorsque je suis descendue me faire un café de fin de journée. Un bon début de récit adultère au bureau.

J’attendais devant la machine, et je ne l’ai pas entendu arriver. Il s’est glissé discrètement derrière moi et s’est plaqué contre mon dos, me coinçant contre le comptoir.

« Oups… J’ai glissé », murmure-t’il.

« Je connais des endroits où tu glisserais bien mieux que ça… »

« Ah oui ? Où ça ? »

« Oh tu sais bien… Ma bouche, ma chatte, mon cul… Je ne suis pas difficile. »

Il me mordille l’oreille mais je m’esquive en rigolant. J’aime bien le faire mariner un peu alors je retourne dans mon bureau.

Il arrive quelques minutes après, mon café à la main. Mince, je l’ai oublié. Il sourit, se penche au-dessus de la table pour me le donner. Je tends la main pour le prendre, il le retire.

« Tut tut tut, la livraison n’est pas gratuite ! »

« Combien ? »

« Enlève ton soutien-gorge. »

Je m’exécute, amusée. Je l’enlève mais en gardant mon tee-shirt. Technique ancestrale.

Baise rapide sous le bureau

Je redeviens faussement sérieuse d’un coup et je demande :

« Est-ce que c’est toi qui as le dossier de Mr Durand ? »

« Oui ».

« Je la cherche depuis cet après-midi ! »

« Tu avais mal cherché. »

« Ah bon ? »

Il me répond avec son air moqueur :

« Oui, tu n’as pas regardé sous mon bureau. »

Ah le salaud ! J’éclate de rire.

« Pauvre Mr Durand, relégué par terre… Laisse-moi donc aller le chercher. »

Nous entrons dans son bureau. Je ferme la porte et je me mets à quatre pattes devant les piles de dossiers. Le cul bien tendu vers lui.

La réaction est immédiate : je sens sa main me palper les fesses. Il est déjà à genoux derrière moi. Il glisse la main sous ma jupe, me caresse.

– Attends, laisse-moi donc chercher ! Je suis en retard tu sais !

– Mais cherche, cherche ! il me répond tout en glissant sa main sous ma jupe.

Je déplace les papiers, mais je ne cherche pas vraiment. Je sens sa langue sur ma peau, une morsure, une tape sur la croupe.

Il n’attend pas plus longtemps : il écarte ma culotte et me pénètre.

– Effectivement, ça glisse !

Je suis toute excitée. Je le sens en moi, il me tient par les hanches, donne des coups de reins vigoureux. Ça va être rapide, mais ça me va. Je passe ma main sur mon clitoris, il est tout gonflé. Je me branle, mon vagin palpite de désir autour de son sexe.

Il me baise, là, par terre, et lorsque je le sens venir je me fais jouir avec mes doigts. Qu’est-ce que c’est bon…

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