Il baise ma femme

Et c’est reparti pour la traditionnelle « Barbecue party » du patron. De la musique, de l’alcool, et surtout l’occasion pour lui d’exhiber son fric et ses belles voitures. Encore. Spoiler : il y aura un « Il baise ma femme ! » quelque part dans ce récit adultère 😉.

Sexy, la femme du patron !

Cette année, je suis plutôt en retard. Histoire de bien me faire remarquer : la semaine prochaine je démissionne. Alors tout ça… Je m’en fous. Mais là, en arrivant, surprise ! Ce n’est pas une nouvelle voiture que nous montre le patron, c’est sa nouvelle compagne. Une magnifique rousse, 30 ans de moins que lui, un cul à tomber par terre, des seins à réveiller la bite d’un mort, le tout dans un maillot de bain minimaliste… Carrément sexy, la femme du patron. Tromper sa femme ou son mari, ça doit pas lui être étranger.

« Bonsoir et bienvenue ! Je suis Irina » me dit-elle avec un accent étranger. Il est allé se chercher une russe ce gros cochon.

Je rejoins les invités et Irina m’amène une coupe de champagne. Tout le monde rit et boit et personne ne remarque ma présence. La femme du patron est là, à me regarder. Ça me met presque mal à l’aise alors je décide d’aller me baigner. Irina plonge à son tour et vient nager près de moi. Très près. Lorsque je sors de l’eau elle me suit, ramasse une serviette, sèche mes épaules. Elle me prend par la main et m’entraîne vers le garage.

Mais… Il baise ma femme !

Là, à l’abri des regards, elle m’embrasse. Je me laisse faire, je ne sais pas trop quoi penser.

– Et ton mari ?

– Il est vieux et… pas très vigoureux, me dit-elle dans un sourire.

– Pourquoi tu l’as épousé alors ?

– À ton avis ? Il est très généreux avec moi. Et très gentil.

– Mais tu t’ennuies, lui dis-je en me rapprochant d’elle.

Nos lèvres se touchent presque. J’ai envie d’elle. Terriblement. Elle passe ses bras derrière ma nuque et m’attire contre elle. Je caresse ses fesses, sa poitrine, elle a un corps superbe. Elle glisse la main dans mon maillot et fais glisser ses doigts le long de mon sexe. « Fais-moi l’amour » demande-t-elle dans un murmure. J’écarte son maillot et j’insère un doigt en elle. Elle est déjà toute mouillée. J’avance de quelques pas, la forçant à reculer. Elle bute sur une voiture et s’assoit sur le capot. Je me penche sur elle, j’empoigne ses seins et lui mordille les tétons. Je les sens durcir dans ma bouche, elle est excitée à mort. Alors je la prends. Je la saisis par les hanches et je rentre ma queue en elle

« Mais… Il baise ma femme ! ». Il paraît que le cri a retentit avant que je ne finisse, mais je ne m’en suis pas rendu compte. Moi, à ce moment-là, je suis hypnotisé par les seins d’Irina qui tressautent au rythme de mes coups de reins. Elle est bonne, elle gémit, elle aime ça. Je jouis en elle alors que tout le monde nous regarde.

J’ai baisé la femme du patron sur le capot de sa Ferrari. Je m’en fous, je démissionne.

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