Récit d’une partouze au Cap d’Agde : une aventure hors du commun

Si tu as déjà entendu parler du Cap d’Agde, ce village naturiste connu pour son ambiance libertine, tu te demandes peut-être à quoi ressemble une expérience dans cet endroit unique. Aujourd’hui, je te partage un récit de partouze au Cap d’Agde, une immersion dans un monde où les inhibitions s’effacent au profit de la liberté et du désir. Prépare-toi à plonger dans une atmosphère enivrante, sous un soleil ardent, où tout semble possible. À travers mon histoire, je vais t’emmener dans cet univers fascinant. Attache-toi, car ce voyage pourrait bien éveiller ta curiosité !

 

« Je n’oublierai jamais ce week-end de juillet au Cap d’Agde. J’y étais allé seul, juste pour changer d’air, me vider la tête… et, soyons honnêtes, pour voir de mes propres yeux si tout ce qu’on racontait sur la baie des cochons était vrai. J’avais réservé une petite chambre dans un appart-hôtel tout près de la plage libertine. Dès le premier soir, l’ambiance m’a happé comme une vague brûlante.

Vers 23 h, je descends vers la plage. Il fait encore lourd, l’air sent le sel et le sexe. Les spots tamisés dessinent des corps nus qui se frôlent, s’embrassent, se caressent sans la moindre gêne. Je retire mon short, je suis déjà à moitié dur rien qu’à l’idée de ce qui peut arriver. Je marche lentement le long de l’eau, une bière à la main, et je sens les regards qui me scannent. Une femme d’une quarantaine d’années, brune, seins lourds et piercings aux tétons, me sourit en écartant légèrement les cuisses sur son paréo. Son mec, baraqué, tatoué, me fait un petit signe de tête. Invitation claire.

Je m’approche. Elle s’appelle Sophie, lui c’est Marco. En deux minutes on discute, on rit, et déjà sa main glisse sur ma queue qui durcit franchement. Marco me regarde dans les yeux pendant qu’elle me branle doucement et murmure : « T’es beau gosse, ça te dit de venir avec nous ? Y a des amis qui nous attendent un peu plus loin. » Mon cœur cogne. J’accepte sans réfléchir.

On marche une centaine de mètres. Là, dans une petite crique protégée par les dunes, il y a déjà une dizaine de personnes. Des matelas, des draps de plage, des glacières, des bouteilles de rosé pamplemousse. L’ambiance est électrique. Un couple est déjà en train de baiser en levrette, elle gémit fort, lui claque ses fesses. Une autre femme, rousse, ultra mince, est à genoux entre deux mecs et alterne les pipes avec une gourmandise impressionnante.

Sophie me prend par la main et m’allonge sur un grand matelas. Elle s’installe à califourchon sur mon visage sans demander son reste. Sa chatte est trempée, rasée, elle sent le soleil et le désir. Je plonge ma langue direct, je la bouffe comme un affamé. Elle se cambre, pousse des petits cris. Marco, derrière elle, écarte ses fesses et commence à lécher son cul en même temps que moi je m’occupe de sa chatte. Elle tremble, jouit déjà en moins de deux minutes, une vraie cascade sur ma bouche.

Quand elle redescend, elle se retourne, m’embrasse goulûment pour goûter son propre jus, puis descend sur ma bite raide. Elle s’empale d’un coup, profonde, serrée, brûlante. Je gémis dans sa bouche. Marco se place derrière elle et, sans capote (on avait tous fait les tests, l’ambiance trust totale), il la prend en double. Je sens sa queue qui frotte la mienne à travers la fine paroi. C’est une sensation indescriptible : on la baise à deux, en rythme, elle hurle de plaisir, ses seins rebondissent, ses ongles griffent mon torse.

Autour de nous, ça dégénère joyeusement. La rousse vient ramper jusqu’à moi, me fourre sa langue dans la bouche pendant que Sophie continue de chevaucher. Un mec black, queue monstrueuse, s’approche et la rousse se met à le sucer juste au-dessus de mon visage. Je vois tout, de près : sa bouche qui avale centimètre par centimètre, la salive qui coule, les veines qui gonflent. Je suis au bord de l’explosion.

Sophie sent que je vais jouir, elle se retire, me branle violemment et me fait gicler sur ses seins et son ventre. Marco continue de la défoncer par derrière jusqu’à ce qu’il se vide en elle avec un grognement rauque. Le sperme coule sur mes cuisses, chaud, gluant. Je suis encore dans le brouillard quand une autre fille, jeune, blonde, tatouages partout, vient lécher le mélange sur le ventre de Sophie avant de m’embrasser pour me faire goûter.

La nuit devient un tourbillon. Je perds le compte. Je baise la rousse dans le cul pendant qu’elle mange la chatte d’une brune. Un mec me prend en bouche pendant que je lèche Sophie qui se fait prendre par un autre. On forme des chaînes, des cercles, des grappes de corps. À un moment je me retrouve allongé, une fille sur la bite, une autre sur la langue, et deux mecs qui se branlent au-dessus de nous en attendant leur tour. Les gémissements se mélangent au bruit des vagues. L’odeur de sexe, de sueur, de crème solaire est partout.

Vers 4 h du matin, je suis épuisé, couvert de sperme, de cyprine, de sable. J’ai joui je ne sais plus combien de fois. Sophie me prend dans ses bras, m’embrasse tendrement : « T’étais parfait, reviens demain, on remet ça. » Je rentre à l’hôtel en titubant, les jambes en coton, le sourire jusqu’aux oreilles.

Le lendemain… eh bien, disons simplement que je n’ai pas beaucoup dormi, et que la baie des cochons a tenu toutes ses promesses. Et bien plus encore. »

Laisser un commentaire