Quick sex entre deux réunions : mon récit hard

Et si une simple pause au bureau devenait une parenthèse électrisante ? Entre deux réunions stressantes, quand la pression s’accumule, il suffit parfois de quelques minutes pour tout changer. Le concept de quick sex entre deux réunions, c’est cette audace de saisir l’instant, de briser la monotonie d’une journée de travail et de t’offrir une dose d’adrénaline. Dans cet article, je te partage mon expérience…

Moi c’est Max, 28 ans, consultant en finance dans une tour de La Défense. Costume sur mesure, café serré, et une vie où tout est chronométré à la minute près. Mais putain, y’a des jours où tout bascule en cinq minutes chrono.

Ce jour-là, j’avais une réunion Teams à 14 h et une autre physique à 14 h 30 au 32e étage. Entre les deux, j’avais genre vingt minutes max. Je descends prendre un café au Starbucks du hall, et là je la vois : Camille, 26 ans, assistante de direction dans un autre cabinet du bâtiment. On s’est déjà croisés dans l’ascenseur, on s’est déjà matés sans rien dire. Petite brune incendiaire, tailleur-pantalon noir ultra moulant, chemise blanche ouverte sur un décolleté qui tue, talons de 12 qui font claquer son cul parfait à chaque pas.

Elle me voit, elle sourit direct, genre sourire de salope qui sait exactement ce qu’elle veut. Elle s’approche, pose son café à côté du mien et murmure sans préambule : « T’as quinze minutes ? J’ai trop envie de ta queue là, tout de suite. »

Je manque de m’étouffer. Ma bite passe de 0 à 100 en deux secondes. Elle attrape ma main, m’entraîne direct vers les toilettes handicapés au fond du hall, celles qui ferment à clé. On entre, elle verrouille, et en même pas dix secondes elle est déjà à genoux, ma braguette ouverte, ma queue dans sa bouche. Elle suce comme une affamée, gorge profonde direct, bave partout sur mon costume. Je lui attrape les cheveux, je la baise la bouche en regardant ma montre : 14 h 12.

Elle se relève, baisse son pantalon et sa culotte d’un seul geste, se retourne, mains contre le mur, cambrée à mort. Son cul est encore plus parfait que dans mes fantasmes : rond, ferme, avec juste la marque du string. Elle écarte les fesses elle-même et chuchote : « Vas-y, défonce-moi sec, pas de capote, je prends la pilule et je suis trempée. »

Je crache sur ma queue, je la pénètre d’un coup jusqu’aux couilles. Elle pousse un gémissement rauque qu’elle étouffe dans son bras pour pas qu’on l’entende. Sa chatte est brûlante, ultra serrée, elle me pompe direct. Je la pilonne comme un marteau, vite et fort, ses talons claquent sur le carrelage à chaque coup de reins. Je lui claque les fesses, elle adore, elle se contracte encore plus.

14 h 16. Je sens que je vais pas tenir longtemps. Elle se retourne d’un coup, s’accroupit, me branle à toute vitesse et ouvre grand la bouche : « Gicle-moi sur la langue, vite ! »

Je jouis comme un malade, des jets épais qui lui remplissent la bouche et coulent sur son menton. Elle avale tout, se lèche les lèvres, se relève, remonte son pantalon, se recoiffe en deux secondes dans le miroir. Moi je remonte ma braguette, essuie la bave sur ma chemise avec un mouchoir.

14 h 19. Elle déverrouille la porte, me fait un clin d’œil : « Merci pour la pause café. À la prochaine réunion. »

Elle sort la première, tranquille, comme si rien ne s’était passé. Moi je remonte direct au 32e, encore la bite à moitié dure, le cœur qui tape à 180. J’arrive pile à l’heure, personne n’a rien capté.

Depuis, à chaque fois qu’on se croise dans l’ascenseur, elle me fait juste un petit sourire en coin. Et moi je sais que la prochaine « pause » est jamais bien loin.

Putain, la Défense, c’est pas que du business. 

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