Récit plan cul en été : des instants brûlants sous le soleil

Par Camille, 25 ans

L’été dernier, sous un soleil de plomb qui faisait fondre les asphaltes de la Côte d’Azur, j’ai vécu une aventure qui me hante encore. J’étais en vacances seule dans une petite villa louée près de Saint-Tropez, cherchant à oublier une rupture douloureuse. Et puis, il y a eu lui : Lucas, ce barman aux yeux verts et au sourire carnassier que j’avais repéré dès mon premier soir au bar de la plage. Grand, musclé par des heures de surf, avec une peau hâlée qui sentait le sel et la crème solaire. Il me plaisait follement, depuis le moment où nos regards s’étaient croisés au-dessus des cocktails. Je fantasmais sur lui toute la journée, imaginant ses mains sur ma peau, son corps contre le mien. C’était physique, brut, irrésistible.

Tout a commencé un soir de juillet, lors d’une fête sur la plage. La musique pulsait, les corps se frôlaient dans la chaleur moite. J’avais mis une robe légère, courte, qui moulait mes courbes et laissait deviner mes seins nus dessous – pas de soutif, juste pour me sentir libre et sexy. Lucas m’a vue arriver, et son regard a glissé sur moi comme une caresse. Il m’a servi un mojito gratuit, en murmurant : « T’es la plus belle de la soirée. » Mon cœur a cogné, et entre mes cuisses, une chaleur familière s’est installée. On a dansé, nos corps se collant sous les lumières tamisées. Je sentais son érection contre mon ventre, dure et insistante, et je n’ai pas résisté à l’envie de frotter mes hanches contre lui. « Viens avec moi, » a-t-il soufflé à mon oreille, sa voix rauque me faisant frissonner.

On s’est éclipsés vers les dunes, loin des regards. Le sable était encore chaud sous mes pieds nus, l’air chargé d’iode et de désir. Il m’a plaquée contre un rocher, ses lèvres dévorant les miennes avec une faim animale. Ses mains ont glissé sous ma robe, effleurant mes cuisses, remontant jusqu’à ma culotte trempée. « T’es déjà toute mouillée pour moi, » a-t-il grogné en écartant le tissu. Ses doigts ont trouvé mon clito, le caressant en cercles lents, puis plus vite, me faisant gémir contre sa bouche. J’ai agrippé ses cheveux, haletante, tandis qu’il enfonçait deux doigts en moi, les courbant pour toucher ce point sensible qui me fait perdre la tête. L’orgasme est monté vite, violent, mes jambes tremblant sur le sable. J’ai joui en criant son nom, le corps secoué de spasmes sous le clair de lune.

Mais ce n’était que le début. Le lendemain, il m’a invitée à une balade en bateau. Juste nous deux, au large, avec la mer turquoise et le soleil qui nous brûlait la peau. J’avais enfilé un bikini minuscule, et lui un short qui ne cachait rien de son excitation grandissante. À peine partis, il a coupé le moteur au milieu de nulle part. « J’ai pas pu dormir en pensant à toi, » a-t-il avoué en m’attirant sur ses genoux. Ses mains ont défait les nœuds de mon haut, libérant mes seins qui pointaient sous la brise marine. Il les a sucés avidement, sa langue tournoyant autour de mes tétons durcis, me faisant cambrer le dos. J’ai descendu sa braguette, libérant sa queue épaisse et veinée, déjà dure comme du roc. Je l’ai prise en bouche, lentement d’abord, léchant le gland salé, puis plus profond, sentant ses gémissements vibrer dans l’air. Il m’a relevée, m’a retournée face à la mer, et a arraché mon bas de bikini. D’un coup de reins, il m’a pénétrée, me remplissant complètement. Ses coups de boutoir étaient puissants, rythmés par les vagues qui claquaient contre le bateau. Je m’accrochais au bastingage, mes seins ballotant à chaque poussée, criant de plaisir tandis qu’il me pilonnait sans relâche. « T’es si serrée, putain, » grognait-il en agrippant mes hanches. J’ai joui une première fois, mes parois se contractant autour de lui, puis une seconde quand il a accéléré, son pouce frottant mon clito. Il s’est retiré juste à temps, éjaculant sur mes fesses, son sperme chaud coulant sur ma peau brûlante.

Les jours suivants ont été une succession de moments volés, brûlants comme le soleil d’août. Une pipe rapide dans les toilettes d’un bar bondé, où je l’ai sucé à genoux, avalant chaque goutte pendant qu’il étouffait ses gémissements. Une baise torride dans ma villa, sur le balcon, avec vue sur la mer – lui me prenant en levrette, ses mains sur mes seins, me fessant légèrement à chaque coup de reins jusqu’à ce que je hurle de plaisir. Une nuit entière où on n’a pas dormi : il m’a attachée avec sa ceinture, léchant chaque centimètre de mon corps, me faisant supplier avant de me faire jouir avec sa langue, encore et encore, jusqu’à l’épuisement.

Lucas me rendait folle. Son corps, son odeur, sa façon de me regarder comme si j’étais la seule femme au monde. C’était du pur sexe, sans attaches, mais avec une intensité qui me consumait. L’été s’est terminé, et on s’est séparés sans promesses. Mais ces instants sous le soleil restent gravés en moi : des souvenirs coquins, humides, qui me font encore mouiller rien qu’en y pensant. Si vous cherchez l’aventure d’un été, laissez-vous brûler – ça vaut chaque seconde.

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