Récit gay : mon meilleur plan BDSM


Salut à tous, c’est Alex ici, un mec gay de 32 ans qui adore explorer les recoins les plus intenses de ma sexualité. Si vous suivez mon blog, vous savez que je ne recule devant rien pour partager mes aventures coquines, surtout quand elles touchent au BDSM. Aujourd’hui, je vais vous raconter mon meilleur plan à ce jour – une soirée qui m’a fait vibrer comme jamais, entre douleur exquise, plaisir interdit et une connexion brute avec un dominant qui savait exactement comment me briser et me reconstruire. Attention, je vais entrer dans les détails sans filtre, pour que vous puissiez presque sentir l’odeur du cuir et entendre les claquements. Si ça vous excite, tant mieux ; sinon, passez votre chemin !

Tout a commencé sur une app de rencontres BDSM, où je cherchais un maître expérimenté pour une session hard. J’avais déjà testé des trucs soft – des menottes, des fessées légères – mais là, je voulais pousser les limites. J’ai matché avec Marc, un bear de 40 ans, musclé comme un dieu grec, avec une barbe poivre et sel et un regard qui vous transperce l’âme. Ses photos montraient une cave aménagée en donjon : croix de Saint-André, fouets, plugs de toutes tailles… J’étais déjà dur rien qu’en imaginant.

On s’est vus chez lui, un soir d’hiver pluvieux. Dès que j’ai franchi la porte, il m’a ordonné de me déshabiller dans l’entrée. « À poil, esclave. Et à genoux. » Sa voix grave m’a envoyé des frissons. J’ai obéi, sentant le froid du carrelage contre mes genoux nus. Il m’a inspecté comme un objet, palpant mes pecs, pinçant mes tétons jusqu’à ce que je gémisse. « T’es à moi ce soir. Safeword : rouge. Sinon, tu endures tout. » J’ai hoché la tête, le cœur battant.

Il m’a emmené au sous-sol, les mains attachées dans le dos avec des menottes en cuir. L’air était chargé d’une odeur de sueur et de lubrifiant. Il m’a fixé à la croix, bras et jambes écartés, vulnérable. « On va commencer doucement, » a-t-il murmuré en me bandant les yeux. Le noir total a amplifié chaque sensation. J’ai senti ses doigts effleurer mon torse, puis un pincement vif : des pinces à tétons. La douleur a irradié, mais elle s’est vite muée en un feu délicieux qui descendait droit vers ma queue.

Ensuite, il a sorti le paddle – un truc large en cuir noir. Les premiers coups sur mes fesses étaient légers, réchauffant la peau. Mais vite, il a augmenté l’intensité. Chaque claquement résonnait dans la pièce, et ma peau brûlait, rougeoyante. « Compte-les, salope, » grognait-il. « Un… deux… merci Maître… » À dix, j’étais en larmes, mais ma bite suintait de précum. La douleur et l’humiliation m’excitaient follement ; j’adorais me sentir brisé sous son contrôle.

Il m’a détaché pour me faire ramper jusqu’à un banc de bondage. Là, il m’a attaché à quatre pattes, cul en l’air. « Temps pour l’entraînement anal. » Il a lubrifié un plug moyen, le glissant lentement en moi. La sensation de remplissage était divine, mais il ne s’est pas arrêté là. Il en a inséré un plus gros, étirant mes chairs jusqu’à la limite. Je haletais, suppliant pour plus. Puis, il a sorti un vibro prostate – oh putain, ça ! Il l’a enfoncé profond, le mettant en marche à fond. Des vagues de plaisir me traversaient, me faisant trembler comme une feuille.

Mais Marc n’était pas du genre à me laisser jouir si facilement. Il m’a edging pendant ce qui m’a semblé des heures : branlant ma queue dure comme du béton, s’arrêtant juste avant l’orgasme. « Pas sans permission, » ricanait-il en me giflant les couilles. La frustration montait, me rendant fou de désir. Enfin, il m’a ordonné de le sucer. À genoux, les mains toujours liées, j’ai pris son sexe épais en bouche. Il était énorme, veineux, avec un goût salé qui m’enivrait. Il m’a baisé la gorge sans ménagement, me tenant par les cheveux, jusqu’à ce que je bave et tousse. « Avale tout, esclave. »

Le clou du spectacle ? Il m’a attaché sur le lit, spread eagle, et a sorti les cordes pour un shibari basique mais serré. Les nœuds mordaient ma peau, me maintenant immobile. Puis, il m’a chevauché, enfonçant son membre en moi d’un coup sec. La pénétration était brutale, profonde, me remplissant complètement. Il pistonnait fort, me traitant de tous les noms – « ma petite pute », « mon jouet » – pendant que je gémissais comme une chienne en chaleur. Chaque coup de reins touchait ma prostate, mélangeant douleur et extase. Quand il a enfin joui en moi, chaud et abondant, il m’a autorisé à exploser. Mon orgasme a été cataclysmique, des jets interminables qui m’ont laissé vidé, tremblant.

Après, il m’a détaché doucement, m’offrant de l’eau et des câlins – l’aftercare parfait. On a discuté, riant de l’intensité. C’était consensuel, safe, et putain de mémorable.

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