Oh, mon Dieu, je n’arrive toujours pas à y croire… C’était la veille de Noël, et j’étais chez mes parents pour le réveillon. Toute la famille était là, l’air embaumait le sapin fraîchement décoré, les guirlandes scintillaient partout, et moi, j’étais déjà en feu intérieurement. Tu sais, ce genre de chaleur qui monte quand on est une nympho comme moi – rien ne me calme, surtout pas en période de fêtes où tout le monde est si proche, si… tentant.
Il s’appelle Alex, un ami d’enfance de mon frère, venu passer la soirée avec nous. Grand, musclé, avec ce sourire malicieux qui me faisait fondre depuis des années. On s’était à peine croisés dans le salon, échangeant des banalités devant la cheminée, mais nos regards… putain, nos regards se croisaient comme des étincelles. Je portais cette petite robe rouge moulante, courte juste assez pour faire tourner les têtes, et je sentais déjà ma chatte palpiter rien qu’à l’idée de ce qui pourrait arriver.
La soirée avançait, les rires fusaient, le vin coulait. À un moment, tout le monde s’est dispersé : les uns à la cuisine pour préparer le repas, les autres devant la télé pour un film de Noël. Alex et moi, on s’est retrouvés seuls dans le salon, près du sapin immense qui trônait au centre. Les lumières multicolores clignotaient doucement, projetant des reflets sur nos visages. Il s’est approché pour « m’aider » à ajuster une boule sur une branche haute, et là… nos corps se sont frôlés.
Je n’ai pas pu me retenir. Ma main a glissé sur son torse, et je l’ai attiré derrière le sapin, dans ce petit recoin caché par les branches basses et les cadeaux empilés. « Chut », je lui ai murmuré, le cœur battant à cent à l’heure. Il n’a pas résisté – ses yeux brillaient de désir, les mêmes que les miens. En un instant, ses lèvres étaient sur les miennes, un baiser vorace, urgent. Ses mains ont remonté ma robe, effleurant mes cuisses, et j’ai gémi contre sa bouche quand ses doigts ont trouvé ma culotte déjà trempée.
Je suis une vraie salope quand l’excitation monte comme ça. Je l’ai plaqué contre le tronc du sapin, déboutonnant son pantalon d’une main tremblante d’impatience. Sa queue a jailli, dure, épaisse, prête pour moi. Je me suis accroupie rapidement, la prenant en bouche juste assez pour le faire grogner, le goût salé de son pré-cum me rendant folle. Mais pas le temps pour les préliminaires longs – on risquait d’être surpris à tout moment.
Je me suis relevée, tournant le dos pour m’appuyer contre lui, relevant ma robe. « Baise-moi vite », je lui ai soufflé, cambrant les reins. Il n’a pas hésité : il a écarté ma culotte sur le côté et s’est enfoncé en moi d’un coup sec, profond. Oh putain, cette sensation de plénitude immédiate… J’ai mordillé ma lèvre pour ne pas crier, pendant qu’il me pilonnait avec force, ses mains agrippant mes hanches. Le sapin tremblait légèrement à chaque coup de reins, des aiguilles tombaient doucement autour de nous, comme une pluie magique et coquine.
C’était rapide, intense, animal. Ma chatte serrait sa bite comme une folle, je sentais l’orgasme monter en flèche. Il accélérait, grognant à mon oreille : « T’es tellement mouillée… tellement bonne. » Et moi, je haletais, une main sur ma bouche, l’autre frottant mon clito pour exploser plus vite. En quelques minutes à peine, j’ai joui violemment, les jambes tremblantes, étouffant un cri dans mon bras. Il m’a suivie de près, se retirant pour gicler sur mes fesses, chaud et abondant.
On s’est rhabillés en vitesse, essoufflés, riant nerveusement en se regardant dans les yeux. Une passion inattendue, juste là, sous le sapin de Noël. Le reste de la soirée, on s’est lancés des regards complices, et moi… eh bien, j’étais déjà prête pour la suite. Parce que pour une nympho comme moi, une baise rapide n’est jamais assez. Joyeux Noël, en effet ! 😈
